Manque d’hygiène, structures dégradées, pénurie de matériels... La Tunisie a découvert la terrible situation des hôpitaux publics à l’occasion d’un drame qui a bouleversé le pays en mars dernier.
Par par la rédaction d’Allodocteurs.fr
Rédigé le 14/05/2019 Le décès de 15 nourrissons, du à une bactérie présente dans les poches d’alimentation d’un grand hôpital public de Tunis début mars, a fait 15 victimes. Un drame qui est très vite devenu un scandale national. Les parents n’ont pas (…)
19 MARS 2019 PAR LILIA BLAISE
Cela faisait des années que médecins et patients tunisiens dénonçaient la détérioration de la santé publique en Tunisie. Après le drame des 7 et 8 mars où onze nourrissons prématurés sont morts en 24 heures, la profession attend un réel changement. L’enquête sur les causes de la tragédie continue.
Tunis (Tunisie), de notre correspondante.- Il n’y aura pas d’autres résultats avant le 27 mars prochain. C’est ce qu’a annoncé le professeur Mohamed Douagi, (…)
Alger, la répression policière de la manifestation de médecins résidents soulève une vague d’indignation
Marie Foult
04.01.2018
Plusieurs médecins ont été blessés – dont certains gravement – mercredi 3 janvier à Alger, à la suite d’une répression policière lors d’un « sit-in » et d’une manifestation au CHU Mustapha Pacha, le plus important hôpital algérien, alors qu’ils demandaient une amélioration de leurs conditions de travail.
Sur des photos publiées sur les réseaux sociaux, (…)
Tunisie : Victoire des salarié-e-s de l’hôpital de Sfax
mardi 18 octobre 2016, par Divers media
Sommaire
La ministre Samira Merai (...) Retour sur ce conflit
Les salarié-e-s de l’hôpital public et leur organisation syndicale ont remporté une importante victoire. Après plus de 13 mois de lutte, ils/elles ont contraint la coalition gouvernementale néo-libérale dirigée par des notables de l’ancien régime et les islamistes d’Ennahdha à céder : le directeur militaire nommé en (…)
Les salarié-e-s de l’hôpital public et leur organisation syndicale ont remporté une importante victoire. Après plus de 13 mois de lutte, ils/elles ont contraint la coalition gouvernementale néo-libérale dirigée par des notables de l’ancien régime et les islamistes d’Ennahdha à céder : le directeur militaire nommé en septembre 2015 à la tête de l’établissement est « dégagé » et remplacé par un civil, tous les salariés sanctionnés dans le cadre de cette lutte sont réintégrés avec le paiement (…)