Tract NPA santé de mars 2019 " Le printemps de la psychiatrie "
Mars 2019, parTract distribué dans des établissements psychiatiques et lors de la mobilisation "le printemps de la psychiatrie" le 21 mars 2019
Tract distribué dans des établissements psychiatiques et lors de la mobilisation "le printemps de la psychiatrie" le 21 mars 2019
Tract distribué dans les établissements de santé
Loi santé : les mesures qui fâchent les médecins libéraux
Parmi les sujets ajoutés au texte, dont l’examen débute lundi à l’Assemblée : un droit opposable à bénéficier d’un médecin traitant et un stage obligatoire dans un désert médical pour les futurs praticiens.
Par François Béguin• Publié le 18 mars 2019
Outre la régionalisation du numerus clausus, qui devrait à terme permettre de former jusqu’à 20 % de médecins supplémentaires, et la labellisation d’« hôpitaux de proximité », le (…)
Mardi 12 mars 2019, par Usp
Parce que notre métier consiste à observer, écouter, laisser du temps à la relation, laisser du temps au silence, Parce que notre métier consiste à donner du sens aux symptômes plutôt que chercher à les anéantir au plus vite, Parce que notre métier consiste à échanger avec les soignants, psychologues et tout autre personnel qui entoure le patient, à débattre, à se disputer, Parce que les protocoles, « prêts à penser défensifs » (Oury), nous entravent dans (…)
Lundi, 18 Mars, 2019 Sylvie Ducatteau
Les députés entament ce lundi l’examen du projet de loi réformant l’organisation du système de santé. Un texte bien loin de répondre aux besoins et aux urgences.
Le projet de loi santé est débattu ce matin à l’Assemblée nationale. Enfin, partiellement, puisque le texte qui promet la transformation en profondeur des études de médecine et de l’organisation du système de santé est truffé d’ordonnances. Ainsi, le gouvernement a décidé de se passer de (…)
Anne Bayle-Iniguez
| 15.03.2019
Pour rassurer le Parlement, le gouvernement a décidé d’inscrire dans la loi les missions des hôpitaux de proximité, à la faveur d’un amendement adopté en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. Le texte précise la nature des activités obligatoires et facultatives de ces établissements, dont la labellisation est repoussée d’un an, « au plus tard le 1er janvier 2021 » (dans un souci de cohérence avec les futures ordonnances sur le sujet). (…)
Sophie Martos, Jean Paillard
| 18.03.2019
C’est le grand rendez-vous du quinquennat pour Agnès Buzyn, dont la loi de santé est discutée à partir d’aujourd’hui dans l’Hémicyle. Dans l’entretien qui suit, elle défend sa réforme et répond aux critiques sur le recours aux ordonnances, les projets territoriaux de santé ou le périmètre des hôpitaux de proximité. Elle promet une solution d’apaisement sur le « pharmacien-prescripteur » et annonce le report de la réforme des ECN.
LE QUOTIDIEN : (…)
PAR NOLWENN WEILER 18 MARS 2019
Le gouvernement s’apprête-il à faire voler en éclat la législation sur les risques professionnels, censée protéger les salariés des atteintes à leur santé ?
La ministre du Travail Muriel Pénicaud pourrait bientôt s’inspirer du récent rapport Lecocq pour modifier les lois actuelles. Ce dernier recommande d’assouplir plusieurs règles, notamment en renvoyant leur négociation à l’entreprise et non plus à la loi, dans la droite ligne des précédentes lois (…)
Agnès Buzyn n’est « pas hostile » au report de l’âge de la retraite Le Figaro 17 mars 2019 Guillaume Guichard
Le grand débat national permet d’ouvrir des portes que l’exécutif n’osait pas même entre-bailler. Interrogée lors de l’émission « Le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI », la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, a déclaré ne « pas être hostile » au report de l’âge de la retraite, « à titre personnel ». « Je pense que, un jour, nous serons obligés de travailler plus (…)
La vérité sur les dérapages des frais de gestion des complémentaires santé Samedi 16 mars 2019
Les complémentaires sont accusées de laisser filer leurs coûts de gestion, au détriment des consommateurs. Ces accusations sont-elles justifiées ?
Convoqués à l’Elysée en pleine crise des "gilets jaunes", le 18 décembre, les patrons des assureurs et mutuelles ne s’attendaient pas à se faire sermonner de la sorte. "Le président était en colère car sa mutuelle lui avait adressé un courrier (…)