Les Echos - Coronavirus : ces lits qui restent vides dans les cliniques
Mars 2020, parEn Alsace, où les hôpitaux publics sont débordés, les établissements privés, lucratifs ou non, sont prêts à accueillir des malades du coronavirus. En région parisienne, le secteur privé s’est également préparé pour la vague épidémique qui arrive.
Par Solveig Godeluck Publié le 19 mars 2020
Certains sont dans la tempête ; d’autres l’attendent. Alors que les établissements hospitaliers publics alsaciens sont débordés par l’afflux de malades du coronavirus, avec pour certains une détresse (…)